Having graduated in 2004 from the renowned Esag Penninghen school for the applied arts, she began her career in the field of visual communication for movie studios in Los Angeles. She subsequently lived and worked in Shanghai, Bahrain, before returning to Paris. She has spent twenty years at the crossroads of fashion and luxury, moving between 2-D and 3-D design, advising creative masters in both fields developing a unique talent for pattern recognition, memorisation of spaces, proportions and drawing up projections.
Away from interior design, fashion, the art world and film, Abdelilah Parreno was drawn to a deeper understanding of human experience and of its environment and started to explore the realm of the ultimate human fabric – skin. In 2018, she embarked on an exploration of the effects of human connective tissue as a space. Passionate about new technologies and their impacts on living things, she focused on the beneficial virtues of microcurrent, used, among others by NASA and leading specialists in facial reconstruction. A rigorous apprenticeship in London and Paris marked the starting point for the creation of Momo Skin Studio in central Paris, a pioneering entity focusing on the epidermal/ psychological link between peace of mind and the face as its landscape.
Diplômée en 2004 de la célèbre école d’arts appliqués Esag Penninghen, elle débute sa carrière dans le domaine de la communication visuelle pour des studios de cinéma à Los Angeles. Elle vit et travaille ensuite à Shanghai, à Bahreïn, avant de revenir à Paris. Elle a passé vingt ans à la croisée de la mode et du luxe, évoluant entre le design 2D et 3D, conseillant des maîtres créatifs des deux domaines développant un talent unique pour la reconnaissance des formes, la mémorisation des espaces, des proportions et l’élaboration de projections.
S’éloignong de l’architecture d’intérieur, de la mode, du monde de l’art et du cinéma, Abdelilah Parreno s’est intéressée à une compréhension plus profonde de l’expérience humaine et de son environnement et a commencé à explorer le domaine du tissu humain ultime : la peau. En 2018, elle s’est lancée dans une exploration des effets du tissu conjonctif humain en tant qu’espace. Passionnée par les nouvelles technologies et leurs impacts sur le vivant, elle s’est concentrée sur les vertus bénéfiques du microcourant, utilisé entre autres par la NASA et les plus grands spécialistes de la reconstruction faciale. Un apprentissage rigoureux à Londres et à Paris a marqué le point de départ de la création de Momo Skin Studio au centre de Paris, une entité pionnière axée sur le lien épidermique/psychologique entre la tranquillité d'esprit et le visage comme paysage.